Un prix Nobel explique enfin pourquoi la NASA n’est jamais retournée sur la Lune 🌕📡 Officiellement, la réponse tient à des choix budgétaires et à des priorités technologiques. Pourtant, selon un lauréat du prix Nobel, cette explication ne raconte qu’une partie de l’histoire.

Le dernier homme à avoir foulé la surface lunaire est remonté dans son module il y a plus d’un demi-siècle, laissant derrière lui une énigme qui persiste encore aujourd’hui. Pourquoi l’humanité, après avoir réalisé l’exploit historique d’Apollo, a-t-elle soudainement tourné le dos à la Lune ? Un lauréat du prix Nobel de physique avance désormais une réponse troublante, fondée sur des découvertes jamais divulguées.

Le programme Apollo, entre 1969 et 1972, a marqué l’apogée de l’exploration humaine. Six missions ont aluni, ramenant des échantillons et une preuve éclatante du génie technologique. Pourtant, en décembre 1972, après le retour d’Apollo 17, le rideau est tombé brutalement. Les missions 18, 19 et 20, déjà planifiées, ont été annulées.

Les raisons officielles ont toujours invoqué les contraintes budgétaires et le changement des priorités géopolitiques. L’ère de la navette spatiale et de la Station Spatiale Internationale a succédé à celle des géants Saturn V. Mais un silence pesant est resté, entretenu par des rumeurs persistantes sur la nature réelle des découvertes lunaires.

Aujourd’hui, le Dr John C. Mather, astrophysicien récompensé par le Nobel pour ses travaux sur le fond diffus cosmologique, jette une lumière nouvelle sur ce mystère. Scientifique éminent et figure clé du télescope spatial James Webb, son crédit est incontestable. Selon des sources proches de ses recherches, il s’appuie sur des archives internes de la NASA restées confidentielles.

Ces documents déclassifiés, incluant des transcriptions des missions Apollo 11 et 17, contiendraient des échanges codés ou ambigus entre les astronautes et le contrôle au sol. Ils évoqueraient des observations inexpliquées : lueurs anormales, ombres aux formes géométriques, voire des objets suivant les modules.

Le Dr Mather évoquerait notamment des images brutes, jamais rendues publiques, montrant des structures ou des symétries surprenantes à la surface lunaire. Considérées comme des « anomalies techniques » ou des artefacts, ces données auraient pourtant conduit à des discussions tendues au sein de l’agence spatiale.

L’hypothèse avancée n’est pas celle d’une rencontre extraterrestre, mais celle d’une découverte scientifique si déroutante qu’elle aurait nécessité un réexamen complet des objectifs lunaires. La présence de phénomènes physiques ou géologiques incompris aurait pu justifier une pause, le temps de développer des technologies d’investigation plus discrètes et avancées.

Cette révélation coïncide avec le retour des grandes puissances vers la Lune, via les programmes Artemis (NASA) et chinois. Les nouvelles missions, robotisées et habitées, bénéficient d’une technologie sans commune mesure avec celle d’Apollo : intelligence artificielle, matériaux composites, propulsion de nouvelle génération.

La question n’est donc plus de savoir si nous pouvons y retourner, mais pourquoi nous y retournons maintenant. S’agit-il simplement d’une nouvelle course aux ressources, comme la glace lunaire ? Ou d’une volonté d’investiguer enfin, avec les outils du XXIe siècle, les anomalies qui ont poussé au retrait il y a 50 ans ?

L’implication d’une figure aussi respectée que John Mather donne un poids considérable à ces interrogations. Elle suggère que le véritable héritage d’Apollo ne réside pas seulement dans les pierres rapportées, mais aussi dans les questions laissées en suspens, soigneusement conservées dans des coffres jusqu’à aujourd’hui.

La NASA n’a pour l’instant pas commenté ces allégations. Le silence officiel contraste avec l’agenda spatial actuel, qui place la Lune au centre d’une nouvelle ambition internationale. La prochaine décennie nous dira si cette fois, nous venons pour rester, et surtout, pour enfin comprendre ce qui nous a fait partir.

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